Le retour du gros blond

Celui-là a généralement les deux chaussures de la même couleur, et il a pris l’habitude de mettre les pieds dans le plat et de ne suivre que sa propre intuition quand il a exercé le pouvoir pendant quatre ans. Vous l’avez reconnu, il s’agit évidemment de Donald Trump, qui revient au premier plan de l’actualité, à cause de la perquisition de son domicile à Mar-a-Lago en Floride par le FBI. Le bureau fédéral a même forcé le coffre-fort de l’ancien président, pour vérifier s’il ne s’y trouvait pas des archives que Donald Trump aurait voulu conserver à son usage personnel, au lieu de les laisser à la Maison-Blanche.

L’apocalypse maintenant ?

77 ans exactement après les frappes d’Hiroshima et de Nagasaki, on ne peut pas s’empêcher de craindre que, à dessein ou par accident, une explosion nucléaire de grande ampleur vienne semer la mort et la désolation autour de la centrale ukrainienne de Zaporijjia, tombée aux mains des Russes depuis mars dernier. La centrale, qui fonctionne toujours et fournit une part importante de l’électricité du pays, se trouve à proximité de la zone des combats et constitue un enjeu stratégique autant qu’économique. Les belligérants s’accusent mutuellement des bombardements qui se sont intensifiés récemment, et les occupants russes se servent des bâtiments comme d’entrepôts militaires, protégés par le risque nucléaire.

La guerre c’est moche

On aura beau dire, on aura beau faire, la guerre, c’est forcément moche. Des gens meurent ou sont blessés, des soldats, bien sûr, mais aussi des populations civiles, et c’est à peu près inévitable. Alors il faut à tout prix que le sang, et donc la faute, retombe sur la tête de l’adversaire, d’une manière ou d’une autre. S’il est vraiment impossible d’accuser le camp adverse, il faudra justifier les sacrifices au nom d’une cause supérieure, d’une fin qui justifie les moyens. Aux temps jadis, la religion était appelée à la rescousse, notamment par l’organisation de croisades destinées à occuper des lieux considérés comme sacrés.

C’est l’histoire d’un mec…

Il s’appelait Michel Colucci, né en 1944 à Paris, d’un père immigré italien et d’une mère française, décédé le 19 juin 1986 à Opio, devenu célèbre sous le nom de Coluche.

Il a fait ses premières armes au café d’Edgar qu’il monte avec une bande de copains, presque aussi célèbres que lui, Romain Bouteille, Patrick Dewaere, Miou Miou… parrainé par les grands noms du show-biz, Montand, Ferrat, Renaud, Moustaki, Balasko, Depardieu…