Ligne de crête

Une nouvelle fusillade s’est déroulée aux États-Unis, malheureusement coutumiers du fait, mais dans un contexte très différent de celles qui ont vu des individus ouvrir le feu sans motivations très claires, généralement en proie à des délires paranoïaques. En l’occurrence, il semble que les deux hommes abattus par les policiers après qu’ils aient tiré sur un officier avaient l’intention de commettre un massacre similaire aux attentats de Paris et plus récemment de Copenhague. Selon certaines sources, les assaillants pourraient appartenir à la mouvance état islamique « au Texas », une organisation dont apparemment personne n’avait entendu parler jusqu’ici.

Dis-moi ce que tu portes…

Je te dirai qui tu es (peut-être), car il est vrai que l’habit ne fait pas toujours le moine !

Dans notre société, l’approche physique est la première que l’on a d’un individu, et à ce titre son apparence vestimentaire est perçue tout de suite comme un signal de personnalité et d’appartenance sociale.

Des êtres d’exception

La loi est la même pour tous. C’est le fondement de la démocratie et même de la simple vie en société. Et pourtant, il arrive régulièrement que des personnes s’exonèrent de ce principe en vertu de circonstances exceptionnelles, ou de leurs qualités réelles ou supposées. C’est, pour moi, le point commun de deux faits-divers a priori très éloignés l’un de l’autre. Le premier concerne la désormais ancienne présidente-directrice générale de l’Institut national de l’audiovisuel, qui a réussi à dépenser en 10 mois plus de 40 000 euros en frais de taxi.

D’un mai, l’autre

Le mois de mai est bien sûr le mois du muguet, mais c’est aussi celui des marronniers. L’an dernier à la même date, je célébrais déjà ici même le joli mois de mai avec son cortège de ponts à répétition, l’occasion ou jamais de faire péter les RTT pour se payer quelques jours de repos bien mérité, selon l’opinion générale, à l’exception notable du Medef, qui aimerait bien ajouter deux ou trois jours fériés à son tableau de chasse après le lundi de Pentecôte conquis de haute lutte pour financer soi-disant la solidarité avec les personnes âgées, mais qui a abouti principalement à ce que personne n’y comprenne plus rien.