Tel chien, tel maître
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 15 janvier 2018 10:51
- Écrit par Claude Séné

J’ai déjà eu l’occasion de vous présenter Nemo, le chien du président Macron, lorsque, encore tout jeune, celui-ci avait décidé de soulager sa vessie (le chien, hein !) sur la cheminée d’un salon de l’Élysée où son maître tenait conseil. Selon des sources bien informées, le chiot, qui a grandi, est incontrôlable et, inconscient de son poids, bouscule joyeusement les collaborateurs du président et les gardes du corps qui ne sont pas trop de trois pour accompagner les sorties de l’animal quand il promène sa patronne au bout d’une laisse sur les Champs Élysées.
Intelligence service j’écoute…
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 14 janvier 2018 09:54
- Écrit par L'invitée du dimanche

Merci de préciser votre demande, assurons-nous d’abord que nous sommes d’accord sur ce concept d’intelligence humaine qui fait rarement consensus.
Il s’agit de l’aptitude à utiliser pleinement les capacités humaines, pour appréhender, organiser les données de la situation, permettant de choisir les moyens, de découvrir les solutions.
Ayez confiance !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 13 janvier 2018 10:48
- Écrit par Claude Séné

Si être payé pour voyager dans des endroits paradisiaques peut être considéré comme le meilleur job du monde, le pire pourrait bien être celui de porte-parole du groupe Lactalis en ce moment. Oui, seulement maintenant, car jusqu’à présent c’était une vraie sinécure, étant donné que le groupe ne voulait communiquer sur rien, malgré le scandale des lots de lait contaminé produits dans son usine de Craon et disséminés dans le monde entier. Cette fois, Michel Nalet a dû présenter des excuses aux consommateurs, notamment aux parents des 35 bébés intoxiqués et ceux à qui l’industriel indélicat a fait courir un risque énorme.
Imposture
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 12 janvier 2018 10:54
- Écrit par Claude Séné

La grande mode pour nos dirigeants, c’est d’assumer. Tout le monde assume ses positions réactionnaires. Du temps de Sarkozy, ils étaient « décomplexés », mais au fond c’est la même chose. Le principe, c’est de faire ce que l’on veut, comme on veut, quand on veut, où en veut, et on emmerde les mauvais coucheurs qui ne comprennent rien à rien. Édouard Philippe « assume » l’impopularité des limitations de vitesse. Très bien, mais ce n’est pas l’abolition de la peine de mort, non plus. Par contre, Emmanuel Macron n’a même pas le courage de se présenter à visage découvert sur la question de l’immigration.