Casse-tête estival

Avec le début des vacances scolaires revient immanquablement le marronnier des comparaisons des moyens de transport. Les quotidiens et les périodiques tentent de répondre à cette question, cruciale pour la plupart des vacanciers : « qui est le moins cher ? » Entre le train, l’avion ou la voiture, le budget transport reste souvent le poste de dépense décisif. La plupart des spécialistes de la question tombent d’accord sur un point : « ça dépend ! ». Si l’on fait une moyenne et que l’on est au moins trois personnes dans la famille, c’est encore la voiture qui reste le moyen le plus économique de voyager. Mais, ponctuellement, sur un trajet précis, le train ou l’avion peut être moins coûteux.

Un ministre qui ne ferme pas sa gueule…

Et qui ne démissionne pas non plus, bien au contraire. Il fallait s’y attendre. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, depuis qu’il a été désigné comme président du parti les Républicains, se comporte de plus en plus ouvertement comme un Premier ministre bis, et même plus important que le chef officiel du Gouvernement, François Bayrou, fragilisé à la fois par sa mise en cause personnelle à plusieurs titres dans l’affaire Bétharram, et son échec devenu patent dans les négociations avec les partenaires sociaux pour tenter de trouver un accord sur les retraites.

See you later crocodile !

Vous connaissez probablement ces petites ritournelles infantiles basées sur des assonances sur le modèle « à plus, dans le bus » et qui se déclinent à l’infini, comme ces quelques exemples non exhaustifs : à plus tard, dans le car, à bientôt dans le métro, ou à demain dans le train… Pour ma part, étant parfaitement monolingue depuis ma plus tendre enfance, je n’ai découvert que tardivement qu’il existait un équivalent anglophone à ces expressions, basées sur une ressemblance phonétique, enfin bref une rime, quoi. Plus précisément, Il s’agit d’une chanson du groupe Louise Attaque, « see you later alligator », extrait de l’album « à plus tard, crocodile », traduction littérale de l’anglais « after while, crocodile ».

Le bonheur

« C’est simple comme un coup de fil » selon cette ancienne publicité de France Télécom au début des années 1990. On sortait alors de la préhistoire de la téléphonie pendant laquelle on disait que la moitié de la France attendait le téléphone et l’autre moitié la tonalité, mais on était encore loin du développement exponentiel de la téléphonie grâce aux progrès de la technologie. À l’époque, le monde était binaire et se résumait souvent à l’affrontement de deux blocs. Pour éviter de tragiques erreurs ou des délais de transmission, une ligne directe, surnommée le téléphone rouge, reliait les deux capitales de part et d’autre du rideau de fer.