Et surtout la santé !

Le président de la plus grande puissance mondiale est en bonne santé. Nous devrions être rassurés, et cependant, bizarrement, cette nouvelle n’a fait que confirmer mes doutes sur l’équilibre de Donald Trump. À la limite, le seul fait que la question se pose de façon si sérieuse que le président des États-Unis ait éprouvé le besoin de se prêter à cet examen et qu’il ait tenu à en faire connaître les résultats aussi largement, suffit à démontrer la suspicion que son attitude et ses décisions a pu faire naître dans l’opinion américaine aussi bien que mondiale.

Chassez le naturiste

Il revient au bungalow ! Oui, je sais, cet à peu près aurait mérité de figurer en bonne place dans une chronique qui paraissait régulièrement dans le journal Ouest France il y a déjà quelques lustres sous le titre : « plus c’est mauvais, plus c’est bon ». C’est pourtant ce qui m’est revenu spontanément en mémoire en entendant Éric Woerth sur France Inter, me rappeler opportunément que tout n’était pas mieux avant. Le paysage politique de la droite dite « classique » est tellement dévasté que les journalistes en sont réduits à faire régulièrement appel à cet ancien ministre de Fillon et Sarkozy.

Un vrai conte de fées

Andy Warhol prétendait que chacun pouvait prétendre à être célèbre pendant 15 minutes dans son existence, une affirmation vérifiée pour certains anonymes propulsés sur le devant de la scène sans autre mérite particulier que de passer à la télévision dans le cadre d’émissions plus ou moins débiles. Dimanche dernier, c’est un arbitre français de football qui a accédé à une célébrité mondiale dont il se serait bien passé en expulsant un joueur nantais qui l’avait fait chuter involontairement. Cet arbitre professionnel, persuadé de l’intentionnalité du geste, est même allé jusqu’à lui donner un coup de pied, tout à fait volontaire, celui-ci.

Tel chien, tel maître

J’ai déjà eu l’occasion de vous présenter Nemo, le chien du président Macron, lorsque, encore tout jeune, celui-ci avait décidé de soulager sa vessie (le chien, hein !) sur la cheminée d’un salon de l’Élysée où son maître tenait conseil. Selon des sources bien informées, le chiot, qui a grandi, est incontrôlable et, inconscient de son poids, bouscule joyeusement les collaborateurs du président et les gardes du corps qui ne sont pas trop de trois pour accompagner les sorties de l’animal quand il promène sa patronne au bout d’une laisse sur les Champs Élysées.