Fils de…

Fils de bourgeois 
Ou fils d`apôtres 
Tous les enfants 
Sont comme les vôtres 
Fils de César 
Ou fils de rien 
Tous les enfants 
Sont comme le tien 

Cette superbe chanson de Jacques Brel m’est revenue en mémoire à l’occasion d’une information pêchée au hasard d’un journal selon laquelle des évêques français allaient recevoir officiellement des enfants de prêtres au mois de juin, levant ainsi un tabou absolu de l’Église catholique, lié au célibat des prêtres, mais aussi au vœu d’abstinence sexuelle.

Le monde du silence

On dit qu’il est d’or, mais ce n’est pas si simple… Il commence aussi bien quand on nous l’intime dans les rangs, simples écoliers attendant l’entrée dans la classe, ou quand on a le droit de le garder dans une arrestation, car tout ce que l’on pourrait dire serait retenu contre nous !

Il signifie à la fois se taire, ne pas s’exprimer, ne faire aucun bruit, mais aussi ne pas divulguer. Dans un monde de plus en plus empli de « bruit et de fureur », il manque tellement à la paix, au calme et à la tranquillité, qu’on a instauré des oasis où il règne en maître, lors de retraite, religieuse ou non, dans des monastères ou dans des ermitages.

Vers la fin des dogmes ?

Le président Macron aura beau proclamer haut et fort que le mouvement des gilets jaunes est mort et enterré, faute de débouché politique, ses conséquences sur les possibilités de l’action gouvernementale restent importantes et ont même tendance à s’amplifier. Il est frappant de constater à quel point certaines positions, présentées il y a peu comme intangibles, sont devenues facultatives, voire abandonnées purement et simplement. J’en prendrai quelques exemples, mais auparavant, faisons un sort à l’absence d’émergence d’un parti des contestataires : cette caractéristique est tout sauf une surprise pour un mouvement qui s’est voulu informel dès son origine.

La ruée vers l’or

Il ne s’agit pas ici de la fièvre qui a poussé des aventuriers à chercher fortune au Klondike ou en Californie au 19e siècle, mais on n’en est pas loin. Les Balkany se sont rués sur Levallois-Perret, selon le Parquet National Financier, et l’ont mis en coupe réglée pendant toutes ces années où Patrick en a été le maire, et Isabelle, sa fidèle adjointe. Et ce sont les électeurs qui leur ont délivré le permis d’exploitation. Des électeurs que le couple bichonne amoureusement, à grands coup de caviar et de champagne. Dame, il faut ce qu’il faut !