Le pire est à venir
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mercredi 13 avril 2016 10:42
- Écrit par Claude Séné

Même s’il n’est jamais sûr, le pire n’est jamais loin. Je sais bien que pour beaucoup de Français la déception provoquée par l’absence de politique de justice sociale de François Hollande leur fait penser qu’un gouvernement de droite n’aurait pas fait plus de dégâts, mais malheureusement, ils se trompent. J’en veux pour preuve cette interview donnée par un des candidats à la primaire des Républicains, Bruno Lemaire. Certes, ce n’est pas le favori de cette compétition, mais c’est précisément son statut d’outsider qui lui donne la capacité de donner franchement sa position, et c’est très instructif.
L’enfer c’est les autres
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mardi 12 avril 2016 10:01
- Écrit par Claude Séné

Après le choc retentissant des révélations des Panama papers, les choses reviennent peu à peu à la normale, c’est-à-dire à l’indifférence générale devant une situation de fraude massive, en particulier des plus riches et des plus puissants. À peine va-t-on suivre avec curiosité les explications embarrassées du Premier ministre britannique, David Cameron, dont on s’étonne à peine d’apprendre qu’il manipule beaucoup d’argent et qu’il cherche à en gagner toujours plus dans la plus grande discrétion. Quelques clients de la Société Générale envisagent également de fermer leurs comptes en représailles contre une banque qui a utilisé l’argent public de son renflouement pour « optimiser » ses placements, contre l’esprit, sinon la lettre de ses déclarations publiques.
Le doulos
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 11 avril 2016 10:22
- Écrit par Claude Séné

En argot, doulos signifie chapeau. Par extension il désigne aussi un indicateur de police. C’est le titre d’un roman policier porté à l’écran en 1962 par Jean-Pierre Melville, maitre français du genre série noire. Le personnage principal est interprété par Bébel, période sombre, ambigu à souhait, au sommet de son art, avant les pantalonnades, style « guignolo ». L’intrigue, compliquée, se déroule sur fond de dénonciations et de vengeances et s’achève par la mort de tous les protagonistes. Ce qui n’est pas le cas dans l’autre affaire de « l’homme au chapeau », qui a tenu en haleine les polices européennes depuis les attentats du 22 mars.
Mince alors !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 10 avril 2016 10:30
- Écrit par L'invitée du dimanche

L’origine de mon billet vient d’une information peut-être passée inaperçue, car elle n’était pas forcément primordiale dans notre contexte politique actuel, c’est celle d’un nouveau critère de mode, qui donnerait comme règle de pouvoir cacher sa taille derrière une feuille de papier A4 (dans le sens de la hauteur bien sûr)… soit 21 cm.