Macronmégas
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le jeudi 21 avril 2016 10:16
- Écrit par Claude Séné

J’emprunte le titre de cette chronique à mon bon maître, François-Marie Arouet, plus connu sous le nom de Voltaire, car il me semble que le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, présente un certain nombre de similitudes avec le héros de son conte philosophique, Micromégas. Rappelons que Micromégas est supposé venir de Sirius et tout ignorer de la Terre et de l’espèce humaine qui la peuple. Comme lui, Macron a l’air de tomber du ciel et ne pas avoir la moindre idée de ce qui fait le quotidien des Français qui ne sortent pas d’une grande école.
L’affiche rouge
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mercredi 20 avril 2016 10:44
- Écrit par Claude Séné

L’affiche de la CGT dénonçant les violences policières a fait grand bruit du côté des syndicats représentant les forces de l’ordre et a suscité les réactions d’un certain nombre de politiques, au premier rang desquels on retrouve évidemment Éric Ciotti qui a fait de la sécurité son cheval de bataille et qui s’oppose à toute forme de contestation de l’ordre établi, allant jusqu’à prôner l’interdiction de se syndiquer pour les magistrats par exemple. Pour ceux qui ne l’auraient pas vue, l’affiche représente une matraque posée sur un écusson de CRS, au milieu d’une mare de sang, tandis que le slogan proclame : « stop à la violence ».
Maudite galère !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mardi 19 avril 2016 10:38
- Écrit par Claude Séné

La ministre de l’Éducation, Najat Valaud-Belkacem, a « condamné absolument » l’accueil réservé à l’académicien et philosophe Alain Finkielkraut dimanche dernier sur la place de la République, tout en déclarant ne pas être toujours d’accord avec ses positions. Un désaccord partagé par les manifestants de Nuit debout qui ont considéré que la présence de Mr Finkielkraut était une véritable provocation, le traitant de « facho » et lui demandant bruyamment « de se casser ». Une attitude assez peu courtoise, je l’admets, mais qui s’est limitée, à ma connaissance, à ce débordement verbal.
Rien ne va plus
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 18 avril 2016 10:36
- Écrit par Claude Séné

Les jeux semblent faits pour la présidente brésilienne, Dilma Rousseff, dont 367 députés sur 513 ont demandé la destitution. La procédure doit se poursuivre avec un vote au Sénat, mais les décomptes donnent une nette majorité à l’opposition et le procès de la présidente puis sa condamnation semble à présent inéluctable. Officiellement, le seul motif de cette destitution concerne la présentation des comptes de l’état pour maquiller les résultats et les rendre, disons, plus flatteurs. Une pratique indéniablement condamnable, mais dont Dilma Rousseff n’a fait que perpétuer l’usage par ses prédécesseurs, de droite comme de gauche.