Lundi matin
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 19 février 2018 10:17
- Écrit par Claude Séné
« S’il vous plait, dessine-moi un rapport sur la SNCF ». Le Petit Prince Emmanuel s’adresse ainsi à Jean-Cyril Spinetta. Mais, Petit Prince, je ne suis pas cheminot, moi, je n’y connais rien à la SNCF ! Justement, on ne voit bien qu’avec le cœur, et après tout, tu as dirigé une grande compagnie aérienne sans être toi-même le moins du monde aviateur. Bon, on ne peut pas dire que cela ait été une franche réussite du point de vue des usagers et du personnel, mais l’essentiel, c’est que tu as privatisé le groupe.
La vengeance…
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 18 février 2018 09:57
- Écrit par L'invitée du dimanche
Est un plat qui se mange froid ! L’attaque du lycée de Parkland par Nikolas Cruz exclu de cet établissement depuis quelques mois, en est peut-être une preuve. Son acte serait alors prémédité et rentrerait dans le cadre de la définition même de la vengeance, qui consiste à infliger en retour et par ressentiment, un mal à l’offenseur (en l’occurrence l’institution scolaire) afin de le punir.
Les gaîtés de l’escadron
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 17 février 2018 10:54
- Écrit par Claude Séné
Ah ! les gaîtés de l’escadron et leur parfum légèrement suranné de nostalgie d’un passé apparemment révolu ! Alors que le président Chirac, qui avait fait, lui, son service militaire, suspendait la conscription en 1997, le président Macron, qui n’a pas eu à satisfaire à des obligations militaires, a décidé de remettre à l’ordre du jour un service national universel et obligatoire, conformément à ses engagements de campagne, quoi qu’il dût en coûter à la collectivité nationale et au budget de l’état.
Calculateur et froid
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 16 février 2018 10:27
- Écrit par Claude Séné
Maintenant que Nordhal Lelandais est passé aux aveux, et bien qu’il bénéficie toujours juridiquement de la présomption d’innocence, son silence et ses dénégations antérieures, ainsi que son comportement, prennent un sens nouveau. Le simple fait que l’on ait pu retrouver le corps de la fillette sur ses indications suffit à démontrer son implication dans la disparition et la mort de la petite Maëlys pendant la nuit du 26 au 27 août 2017. Ces aveux n’ont fait que confirmer ce que les enquêteurs et la famille pressentaient déjà depuis l’automne dernier et la mise en examen du suspect sur la base d’un faisceau concordant de présomptions.