Je peux, tu pourras, nous pourrions...
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 12 février 2017 10:30
- Écrit par L'invitée du dimanche
Petite conjugaison d’un verbe qui ouvre le pouvoir ! Le pouvoir (rares sont ceux qui n’en ont jamais exercé au moins une parcelle), cette possibilité de faire triompher sa volonté contre des résistances éventuelles, d’agir pour un autre dont on a reçu mandat, de prendre des décisions légitimes ou légales au sein d’un groupe.
Y a bon bamboula ?
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 11 février 2017 11:06
- Écrit par Claude Séné
Il aura fallu une remarque malheureuse d’un syndicaliste Unité Police SGP-FO sur l’antenne de C dans l’air pour attirer l’attention sur la dimension raciste potentielle de l’affaire Théo. Ce porte-parole syndical a jugé bon de relativiser l’insulte raciste « bamboula » en la qualifiant d’à peu près convenable. Il a eu beau s’excuser après coup de cette maladresse, le mal était fait et a d’autant plus choqué le public que cette expression reflète bien l’air du temps. Si ce policier n’est pas connu pour avoir professé d’idées discriminatoires, il n’en est pas moins exemplaire du climat détestable de suspicion qui règne actuellement.
Je l’ai pas fait exprès
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 10 février 2017 10:54
- Écrit par Claude Séné
Qui n’a pas déjà entendu cette excuse naïve d’un enfant de maternelle pour essayer de se disculper d’une faute ou d’une entorse au règlement ? Dans la bouche d’un enfant de trois ou quatre ans, la formule peut sembler amusante, voire attendrissante, à condition toutefois que son comportement n’ait pas eu de conséquences trop néfastes. Quand il s’agit d’un adulte, on aurait tendance, et à juste raison, à ne plus accepter de telles justifications. S’être dopé « à l’insu de son plein gré » a valu à Richard Virenque force quolibets sans pour autant l’exonérer de ses responsabilités.
Argent trop cher
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le jeudi 9 février 2017 11:08
- Écrit par Claude Séné
Le groupe « Téléphone » le chantait déjà dans les années 80, cet argent trop cher. Il ne savait pas à quel point cette formule pourrait s’appliquer à la situation politique en 2017, et tout particulièrement à celle du candidat de la droite et de moins en moins du centre. De l’argent, certes il en faut pour se lancer dans une campagne présidentielle, mais la découverte de son rôle prépondérant pour celui qui a basé toute sa stratégie sur son image d’incorruptible, en opposition avec son mentor englué dans le bling-bling et les « affaires » a jeté comme un froid.