Crime et châtiment

Ne dirait-on pas que le sort s’acharne sur les États-Unis ? La météo annonce la survenue d’une vague de froid extrême pour la semaine en cours dans tout le nord du continent américain, avec des tempêtes de neige et des records de froid rarement ou jamais atteints jusqu’ici. Cet épisode de froid ultime fait suite à une série de glissements de terrain catastrophiques entraînant des coulées de boue dévastatrices, causant de nombreux dégâts et emportant tout sur son passage, voitures, mais aussi maisons, cultures, etc., sans compter les inondations, les typhons et tous les évènements climatiques jadis exceptionnels qui deviennent monnaie courante.

Géométrie variable

La « réunion informelle » qui se tient aujourd’hui à Paris à l’invitation du président Macron est une illustration de l’imbroglio dans lequel se trouve placée l’Europe, au sens géographique du terme. En effet, le président français a annoncé la venue de représentants de 8 pays européens, présentés comme les plus importants. Les autres nations apprécieront, qui ne sont pas habituées comme nous, aux maladresses chroniques d’Emmanuel Macron, capable de nous fâcher avec n’importe qui, sans même  s’en apercevoir. Pour discuter des enjeux sécuritaires de notre continent, il y aura des représentants de différentes instances, dont on ne sait plus très bien quels sont leurs rôles respectifs.

Saint « marronnier »

Je fais allusion à ce sujet traité par les médias qui revient chaque année et par conséquent un peu facile et « bateau » et plus particulièrement à celui du 14 février, la Saint-Valentin.

J’en ai évité la facilité pendant toutes ces années, mais faute de temps à cause d’un parcours de santé compliqué, j’y souscris aujourd’hui !

D’abord, qui était Saint-Valentin ? Les réponses sont diverses, et parfois bien mystérieuses.

Un recul historique

À peine venait-on de célébrer le 80e anniversaire de l’ordonnance du 2 février 1945 qui fixait des règles spécifiques en ce qui concerne la justice des mineurs, une des mesures phares parmi les nombreux progrès obtenus après la libération du pays de l’occupant nazi et l’instauration d’un Gouvernement provisoire dirigé par le général de Gaulle, qu’il fallait statuer sur de nouvelles atteintes aux principes qui avaient présidé à sa promulgation. L’ancien Premier ministre éphémère, Gabriel Attal, reprenait en effet un texte prônant des mesures répressives et le présentait devant l’Assemblée nationale en vue de son adoption. Compte tenu de l’absence de majorité soutenant le gouvernement, ce projet de loi ne peut être adopté que si la droite dite républicaine et le Rassemblement national votent en sa faveur.