Il était une fois…
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 8 décembre 2019 10:07
- Écrit par L'invitée du dimanche
Phrase magique ouvrant sur un univers d’aventures imaginaires destinées à enchanter les petits et les grands ?
Oral à l’origine des temps, puis écrit, ce type de récit quasiment universel (on le retrouve dans toutes les cultures) a connu son apogée avec Charles Perrault et les frères Grimm. Il est devenu un support privilégié pour les psychologues et les psychanalystes qui ont su y découvrir tous les sens cachés justifiant la magie et leur impact sur l’esprit enfantin.
Le pied du mur
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 7 décembre 2019 10:49
- Écrit par Claude Séné
C’est là que l’on voit le maçon, dit-on. Le gouvernement avait évoqué le « mur du 5 décembre » sur lequel il craignait que se fracasse sa réforme des retraites, tout en espérant secrètement que la mobilisation populaire ne soit pas au rendez-vous. Avec entre 800 000 personnes selon le ministère de l’Intérieur et un million et demi selon la CGT, la démonstration de force est indéniable et le Premier ministre a bien été contraint de la reconnaître, tout en essayant de noyer le poisson comme à son habitude.
Le million
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 6 décembre 2019 09:32
- Écrit par Claude Séné
C’était le titre d’un film de René Clair qui date un peu puisqu’il remonte à 1931 et qui raconte les tribulations non pas d’un billet de banque, mais celles d’un billet de loterie qui pourrait tirer de sa misère un rapin montmartrois accablé de dettes, qui a décroché le gros lot, mais égaré le billet. À l’époque, un million, c’est une somme, et les plus riches ne sont que millionnaires, et pas encore milliardaires comme Bernard Arnaud et quelques autres privilégiés.
Service minimum
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le jeudi 5 décembre 2019 10:27
- Écrit par Claude Séné
Croyez-moi ou non, j’ai longuement réfléchi avant de me décider à écrire cette chronique. Après tout, par solidarité avec tous ceux qui vont cesser le travail, j’aurais pu me contenter d’écrire, comme Louis croix vé bâton dans son journal intime le 14 juillet 1789 : « rien ! ». D’un point de vue purement égoïste, la seule crainte que je puisse avoir pour la suite de mes vieux jours, ce serait un effondrement de la France sur elle-même, qui la mettrait en état de faillite et dans l’incapacité de faire face à ses engagements.