Chichén Itzá

Voilà une merveille du monde dont j’ignorais l’existence, située au Mexique dans la péninsule du Yucatan près de Valladolid. C’est un témoignage de l’histoire de l’humanité, le plus impressionnant, le plus primé au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1988, classé septième merveille du monde et j’ai failli l’oublier !

La voie Royal

Avouez que vous ne l’aviez pas vu venir, celle-là. En tout cas, moi, qui me pique de chercher à rester informé, même dans les périodes estivales, je ne m’attendais pas à apprendre que Ségolène Royal, non seulement soutiendrait une liste éventuelle d’union des gauches dont feraient partie les Insoumis, mais aussi qu’elle était disponible, ça, on s’en serait douté au vu de son agenda politique, et prête à la conduire en juin 2024. À ma décharge, quand Ségolène Royal a fait cette annonce au cours de l’université d’été de LFI, elle en a surpris plus d’un dans l’assistance, y compris certains cadres du parti, craignant visiblement d’être victime d’un canular ou d’un poisson d’avril en août (y a plus de saisons !)

Beso gate

On a pris l’habitude de désigner un scandale, et particulièrement un scandale d’état, en accolant le suffixe « gate », comme dans l’immeuble espionné par le parti républicain, le Watergate, à un mot résumant l’affaire. C’est pourquoi je prends la liberté d’évoquer de cette manière le fameux baiser, beso en espagnol, infligé sans son consentement à une joueuse de l’équipe féminine de football, qui venait de remporter la finale de la coupe du monde en Australie, aux dépens de l’Angleterre. Plus encore que le fait en lui-même, c’est l’attitude possessive et dominatrice du président de la Fédération, Luis Rubiales, qui a choqué.

Glasnost et perestroïka

La mort du chef de la milice Wagner, Evgueni Prigogine, au cours du crash de son avion dans des circonstances troublantes, m’a fait penser à ce slogan mis en avant dans les années 80 par le dernier président de l’Union soviétique, Mickhaïl Gorbatchev, avant son effondrement. La glasnost, littéralement la transparence, est sans doute ce qui caractérise le moins le pouvoir de Wladimir Poutine, qui s’est appliqué à museler toute forme d’opposition, et notamment la presse quand elle s’est avisée de vouloir rendre compte des évènements sans passer par la censure officielle.