Pandi-panda

La vague d’attendrissement sur les pandas géants, « trop mignons », ne date pas d’hier. Dès 1984, la Bécassine de service, enfin, sa cousine, Chantal Goya, contribuait à l’abêtissement de la classe biberon en mettant en scène ce personnage, dans le but déclaré de la protection de l’espèce alors très menacée. Depuis, la Chine a redressé la situation en protégeant et en élevant les pandas, qui sont devenus les mascottes et les ambassadeurs du pays. C’est ainsi que la France a obtenu le prêt d’un couple de ces ursidés en 2012, en signe d’amitié entre les deux pays.

Fair-Play

Tout a été dit sur le transfert du siècle, celui de Neymar du club de Barcelone vers le Paris Saint Germain. Il s’agit de football, bien sûr, mais l’aspect sportif devient anecdotique au regard des sommes faramineuses mises en jeu pour s’assurer les services des joueurs les plus réputés. Le PSG a dû s’acquitter d’une véritable fortune pour débaucher le Brésilien : 222 millions d’Euros à verser au Barça, qui réalise au passage une jolie plus-value, puisqu’il avait payé « seulement » 57 millions au club brésilien de Santos en 2013.

Il était une bergère

Vous connaissez la chanson. La fameuse bergère qui allait au marché ressemble un peu à Emmanuel Macron. Il porte sur la tête les trois pommes qui représentent les espoirs des Français, enfin ceux qui restent convaincus qu’il peut en même temps raser gratis demain et redresser les comptes aujourd’hui, et qui sont de moins en moins nombreux si l’on en juge par le nouveau sondage qui lui donne seulement 36 % d’opinions favorables. Pour beaucoup de nos concitoyens, la ligne de conduite du gouvernement est complètement illisible et contradictoire : « Trois pas en avant, trois pas en arrière, trois pas sur le côté, trois pas de l’autre côté ! »

Trump, ça use énormément

Vous êtes viré ! Avant de devenir président des états-unis d’Amérique, Donald Trump a animé une émission populaire à la télévision, dans laquelle il recevait des candidats à un poste bien payé dans son entreprise, pour les éliminer un par un et n’en garder qu’un seul. C’est là qu’il a rôdé sa formule « you’re fired » par laquelle il renvoyait les candidats malheureux. Il semble qu’il ait conservé les mêmes méthodes depuis qu’il est à la tête de la première puissance mondiale. Avec une différence toutefois : les limogeages en cascade sont en train de le discréditer totalement.