Polémiques
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 26 mai 2019 09:58
- Écrit par L'invitée du dimanche

Controverses, discussions, querelles, disputes… à vous de choisir, de toute façon, à chaque fois, au-delà du sens littéral du terme qui signifie « disposé à la guerre », il s’agit d’un affrontement donnant lieu à des échanges publics, le plus souvent écrit, mais aussi oral, entre plusieurs adversaires qui s’agressent plus ou moins ouvertement, et qui développent des critiques sur des sujets divers à partir d’opinions opposées.
Je hais les dimanches
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 25 mai 2019 10:58
- Écrit par Claude Séné

C’est ce que chantait Juliette Gréco sur des paroles de Charles Aznavour dans les années 50. À l’époque, la chanson exprimait un certain malaise existentialiste. De nos jours, elle prend un tout autre sens pour ces deux employés d’un supermarché Cora, licenciés pour faute grave parce qu’ils avaient refusé de travailler le dimanche. Au passage, on a pu mesurer le degré de culture géographique de la presse parisienne qui a situé dans un premier temps la ville de Saint-Malo en… Normandie ! Déjà que le mont Saint-Michel a été volé aux Bretons par les divagations du Couesnon !
Subsidiarité
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 24 mai 2019 10:51
- Écrit par Claude Séné

Ce terme un peu barbare a beaucoup été utilisé à une période de la construction européenne sous l’impulsion du Français Jacques Delors. Pour résumer, il consiste à laisser prendre les décisions à l’échelon le plus bas de la hiérarchie, au plus près du terrain, donc. Ce principe devait contrebalancer les directives, parfois tatillonnes, émanant du « sommet », objets de toutes les critiques des « eurosceptiques ». Cet esprit de subsidiarité me paraît faire cruellement défaut en ce moment dans notre France jacobine à l’excès. J’en prendrai deux exemples dans l’actualité récente.
La positive hébétitude
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le jeudi 23 mai 2019 10:20
- Écrit par Claude Séné

Hier au soir, je regardais tranquillement Quotidien, cette émission qui mêle information et divertissement. Une des invitées était Virginie Efira, pour son rôle dans un film présenté à Cannes, et Yann Barthès lui lit un extrait de la critique élogieuse parue dans les Inrockuptibles du 22 mai 2019 sous la signature de Thierry Jousse : « Virginie Efira, brillante dans “Victoria”, tient ici le rôle de sa vie. Elle n’est pas seulement Sibyl, le personnage principal, elle EST Sibyl, le film, son point de départ et son point d’arrivée, son alpha et son oméga ». Virginie Efira, flattée, mais gênée, fait mine de quitter le plateau.