Bossa nova

Alors comme ça, je vous laisse cinq minutes, ou à peine plus, et vous trouvez le moyen de me déclencher une quatrième vague de Covid 19 ? vous n’êtes vraiment pas raisonnables. À votre décharge, il faut bien admettre que l’exemple vient de haut, comme d’habitude, là où l’altitude permet de souffler le froid et le chaud, le royaume du « en même temps », dont le plus clair des résultats semble bel et bien de faire attraper aux Français un chaud et froid dévastateur. C’est précisément au moment de la montée de la recrudescence de l’épidémie que l’état permet la réouverture des boîtes de nuit et autres discothèques.

Un pour tous, tous contre un

Il aura suffi d’une élection régionale réussie, qui a souri aux ténors et à la presque unique colorature de la droite, pour que refassent surface les rivalités de personne en vue de la prochaine présidentielle. La victoire possible, sinon probable, comme c’était le cas en 2017, a aiguisé les appétits. Aucun des candidats putatifs n’a envie de passer son tour, l’histoire récente ayant démontré que les scénarios les plus improbables pouvaient se matérialiser, et que les pronostics ne servaient qu’à être démentis par les faits.

Le jeu de cette famille

Vous avez cru, comme moi, que le Rassemblement national avait subi un coup d’arrêt à l’occasion de ces élections départementales et régionales. Détrompez-vous. Si l’on en croit ses porte-paroles, bien que le parti a dû renoncer à son ambition de remporter une ou plusieurs régions, il est plus fort que jamais. Et de fait, il a moins reculé que la République en marche, le parti du président sortant, qui a subi une véritable déroute, malgré les poids lourds engagés dans la bataille électorale.

Marie Madeleine Dreux d’Aubray

Plus connue sous le nom de « la Brinvilliers », qui fut la plus célèbre empoisonneuse du règne de Louis XIV.

Née en 1630 dans une famille de grande aristocratie, sa personnalité interroge, et nécessite un court résumé de sa vie avant d’épouser Antoine Gobelin, marquis de Brinvilliers en 1651.