Victimes du genre

Le genre, c’est un des critères de discrimination qui consiste à traiter d’une façon inégale des personnes en fonction de leur race, de leur religion, de leur handicap, de leur orientation sexuelle, de leur origine sociale.

Les femmes, ce n’est plus à démontrer, sont victimes de cette discrimination, due à leur sexe !

À tel point qu’il a fallu des directives européennes, juillet 2006, pour affirmer le principe de non-discrimination basée sur le sexe, complétées par une directive nationale en août 2008. L’article 225-1 « interdit d’opérer toute distinction sur le fondement du sexe… Ne retenant aucun critère genre masculin féminin ».

À quoi servent vraiment les contrôles d’identité ?

La défenseure des droits s’est attiré la colère du président Macron pour avoir osé suggérer la nécessité de la traçabilité des contrôles d’identité, voire d’expérimenter des zones sans contrôle d’identité. Plutôt que d’essayer d’atténuer les effets négatifs de contrôles décidés en fonction de l’âge, du sexe, de la couleur de peau, communément désignés sous le terme de « contrôle au faciès » Claire Hédon pose clairement la question à mon avis la plus importante : ces contrôles sont-ils vraiment justifiés ?

Tintin au pays des soviets

Je ne fais pas partie du club des « tintinolâtres », ni même de celui des tintinophiles, mais la ressemblance physique du président français avec le reporter créé par Hergé m’a incité à une réflexion sur la trajectoire actuelle d’Emmanuel Macron. La mégalomanie déguisée en simplicité transparaît dans son exercice du pouvoir, plus que jamais solitaire. La plupart des observateurs de la vie politique ont noté la disparition inquiétante du comité scientifique chargé d’éclairer le pouvoir sur les décisions à prendre vis-à-vis de la pandémie, laissant le président faire seul ses choix pour le meilleur ou pour le pire.

L’oisiveté est la mère de tous les vices

Ce proverbe faisait partie des maximes et sentences utilisées couramment dans les leçons de « morale » dispensées autrefois par l’école de la république. Nous venons d’en voir l’illustration concrète au sein du gouvernement par au moins deux ministres réduits au chômage technique par la pandémie de Covid 19. Tout d’abord, c’est Roselyne Bachelot, qui se voyait bien en Jack Lang en crocs roses, qui essaie désespérément d’exister en proposant des concerts expérimentaux d’un intérêt purement anecdotique, mais qui ne mangent pas de pain.