Né en 17 à Leidenstat
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 28 février 2022 10:52
- Écrit par Claude Séné

Dans cette chanson de 1990, Jean-Jacques Goldman se posait la question de savoir s’il aurait choisi le côté honorable de la barricade s’il était né dans les ruines de la guerre de 14-18 en Allemagne. La guerre d’agression menée en Ukraine par les troupes du dictateur russe Wladimir Poutine sert de révélateur de l’âme humaine, pour le meilleur comme pour le pire. La résistance héroïque des Ukrainiens n’est pas une totale surprise pour nous, les Occidentaux, mais il semble que Poutine ait sous-estimé la valeur de l’armée ukrainienne et qu’il soit obligé de déployer plus de moyens que prévu à l’origine.
Merde alors !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 27 février 2022 10:18
- Écrit par L'invitée du dimanche

J’espère que vous me pardonnerez cette exclamation pour le moins vulgaire ou grossière, au choix, quand vous aurez lu ce billet…
Si j’en crois toutes les expressions auxquelles est associé ce gros excrément de l’homme, appelée aussi matière fécale, elle a une place importante dans notre vie, pour exemple :
Semer la merde, foutre la merde, se prendre pour de la merde, être dans la merde, avoir de la merde dans les yeux, couvrir quelqu’un de merde, avoir le nez dans sa merde, on a un œil qui dit merde à l’autre, être fouille-merde…
Sanctions et dissuasion
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 26 février 2022 10:33
- Écrit par Claude Séné

Et c’est reparti comme en 14. En 2014, s’entend. Déjà, des sanctions économiques avaient été prises contre la Russie à la suite de l’annexion de la Crimée, conquise presque sans coup férir, et conservée par Wladimir Poutine malgré une réprobation internationale massive. De telles représailles ne sont visiblement pas de nature à modifier les plans de l’autocrate russe, elles ne l’ont pas été et ne le seront pas davantage dans un avenir proche. Tout le monde le sait. Poutine le sait. Les dirigeants occidentaux le savent. Pire encore, des sanctions économiques plus fortes encore ne suffiraient sans doute pas à dissuader le président russe de poursuivre un objectif d’extension territoriale.
Bénéfices collatéraux
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 25 février 2022 10:42
- Écrit par Claude Séné

La campagne présidentielle était déjà comme anesthésiée par le refus persistant du président sortant de déclarer sa candidature, malgré tous les signes extérieurs qui prouvaient son intention d’y participer. Elle subit désormais les effets de la guerre déclenchée en Ukraine du fait de l’agression décidée par Wladimir Poutine. Si l’on ne peut pas soupçonner Emmanuel Macron d’avoir la moindre responsabilité dans le déclenchement de ce conflit, il est indiscutable qu’il a l’intention cynique d’en tirer tout l’avantage possible en vue de sa réélection. Mécaniquement, sa position de président en exercice lui assure une rente de situation, d’autant plus forte qu’il a tenu à assurer son rôle de la présidence tournante de l’Union européenne, malgré les conflits d’intérêts évidents.