Pas cher payé
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 22 janvier 2024 10:59
- Écrit par Claude Séné

Pour vivre heureux, vivons cachés. Les déclarations qualifiées de « maladroites » par le président Macron de sa ministre de la jeunesse, des sports et des Jeux olympiques, nouvellement chargée de la lourde tâche de gérer l’éducation nationale à ses moments perdus, ont eu pour effet collatéral d’attirer l’attention sur la personne d’Amélie Oudéa-Castéra. Et l’on est allé de surprises en surprises. D’abord sur ses manières d’instrumentaliser l’institution scolaire. Autrefois en faisant pression pour faire sauter une classe de maternelle à l’aîné de ses enfants, puis récemment pour lui permettre d’être admis dans une classe prestigieuse de « prépa ».
Passé antérieur
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 21 janvier 2024 10:51
- Écrit par L'invitée du dimanche

Pour mémoire, la loi Debré de 1959 établit un rapport entre l’État et les établissements privés, ceux-ci bénéficieront d’une subvention publique s’ils acceptent un contrat appliquant les mêmes programmes, les enseignants seront rémunérés par l’État.
Cette loi ranime la guerre public-privé. 1963, petite commune de Loire-Atlantique de 800 habitants, deux écoles, une privée catholique, de 4 classes, et une publique de trois classes. (Mêmes rapports en 2024)
Paysans, ça craque !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 20 janvier 2024 10:50
- Écrit par Claude Séné

Le président Emmanuel Macron n’avait pas vu venir le mouvement des gilets jaunes en 2018. Quand il a voulu faire cesser la crise ouverte par l’occupation des ronds-points et les manifestations hebdomadaires, il s’est retrouvé dans la situation de celui qui voudrait remettre le dentifrice dans le tube après l’avoir laissé se vider progressivement, une mission impossible, donc. Je ne sais pas s’il a juré ce jour-là qu’on ne l’y reprendrait plus, mais je me suis laissé dire qu’il suivait attentivement l’évolution de la situation des agriculteurs, de plus en plus préoccupés par la baisse de leurs revenus.
Sus aux écrans
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 19 janvier 2024 11:03
- Écrit par Claude Séné

Le Président s’ennuie. Et rien n’est plus dangereux qu’un chef d’État qui se rend compte qu’il ne maîtrise pas grand-chose depuis que le peuple ingrat l’a privé de son pouvoir absolu en lui refusant une majorité entièrement à sa main pour satisfaire ses lubies. Bien sûr, il conserve certaines attributions plutôt amusantes, comme le fait de nommer son protégé, certains disent son clone, à l’hôtel Matignon en lui octroyant le privilège de doubler toute la file de prétendants pour passer devant tous ceux qui se voyaient déjà en haut de l’affiche. Et puis quel plaisir de faire espérer aux uns et aux autres l’obtention d’un maroquin purement honorifique, qui les tiendra en laisse pour la fin du quinquennat.