C’est pas sorcier !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mercredi 12 novembre 2014 11:30
- Écrit par Claude Séné

Rosetta va larguer le robot Philae sur la comète Tchouri, plus précisément, à Agilkia. Si vous n’êtes pas au courant, c’est que vous habitez dans un autre système solaire, et que vous êtes donc la preuve vivante qu’une autre forme de vie existe, et qu’elle est apparemment intelligente. Si, si ! Tout a été dit sur cet évènement, mais les médias partent du principe que nous savons déjà tout sur tout, et ne se donnent plus la peine de nous le rappeler.
D’un mur l’autre
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mardi 11 novembre 2014 11:10
- Écrit par Claude Séné

L’Allemagne célèbre le 25e anniversaire de la chute du mur de Berlin, l’occasion de se replonger dans l’histoire, de se souvenir du temps de la guerre froide et du glacis qui séparait deux mondes, symbolisé par cette muraille de béton, presque infranchissable, sinon au péril de sa vie. Difficile d’oublier les miradors et les barbelés, les vopos armés de mitraillettes, prêts à tirer sur les audacieux qui tentaient leur chance, souvent en vain, quand on a eu l’occasion de les voir.
Abasourdi
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 10 novembre 2014 10:46
- Écrit par Claude Séné

Selon son porte-parole, Nicolas Sarkozy serait abasourdi après les révélations des journalistes du Monde selon lesquelles François Fillon aurait demandé une intervention de l’Élysée pour accélérer les procédures judiciaires contre lui. C’est un peu court, jeune homme. Sans faire offense à l’ancien chef de l’état, ce terme ne semble pas faire partie de son vocabulaire habituel, qui est, comment dire, plus imagé, à défaut d’être poétique.
Dimanche je vous hais !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 9 novembre 2014 10:47
- Écrit par L'invitée du dimanche

L’origine de cette aversion date de mon enfance, où contrainte de quitter ma famille pour rejoindre la pension pour un long mois, je restais paralysée tout l’après-midi, l’œil fixé sur l’horloge, attendant avec angoisse le moment de partir, incapable de m’intéresser à la moindre activité. Je rencontrais pour la première fois ce dilemme qui devait m’accompagner toute ma vie : comment s’accommoder d’un temps que l’on trouve à la fois trop long, qui s’égrène trop lentement, et est à la fois trop court et va trop vite ! Seule l’action me libérait.