Nadine
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 28 septembre 2015 10:35
- Écrit par Claude Séné

Si elle n’existait pas, les humoristes l’auraient inventée. Avant toute chose, et dans un esprit d’apaisement, je tiens à m’excuser par avance pour tout propos que je pourrais être amené à tenir à son sujet. Déjà, utiliser son prénom pour intituler ma chronique pourrait être retenu contre moi. Je voudrais préciser immédiatement que ce n’est pas moi qui l’ai traitée de « conne », de « connasse » ou de « salope », mais bien Guy Bedos. Pourtant, il semblerait que je n’aurais pas risqué grand-chose, puisque l’amuseur patenté vient d’être relaxé par le tribunal au motif que ses saillies faisaient partie de la loi du genre, et qu’il n’avait pas dépassé ses outrances habituelles.
Fraternisation encore
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 27 septembre 2015 09:52
- Écrit par L'invitée du dimanche

Une fois n’est pas coutume, mais deux fois ce n’est pas une habitude, après mon hommage à Madame Merkel, j’aimerais aujourd’hui donner un coup de chapeau à un ancien homme politique qui se reconnaissait dans la tradition sociale de la démocratie chrétienne, en l’occurrence à M. Jean-Louis Borloo.
De cape et d’épée
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 26 septembre 2015 10:18
- Écrit par Claude Séné

La veine littéraire semblant plaire au lectorat, je vous entraine aujourd’hui dans le domaine du roman historique. En effet, François Pérol, actuel président du groupe Banque populaire Caisses d’épargne, qui vient d’être relaxé de prise illégale d’intérêts, est homonyme d’un personnage du Bossu de Paul Féval, Monsieur de Peyrolles. Rappelons brièvement l’intrigue : Monsieur de Gonzague a assassiné son cousin, le Duc de Nevers, pour s’emparer de ses biens et de sa fortune. Il charge Monsieur de Peyrolles et ses spadassins de trouver et enlever Aurore, la fille cachée du Duc. C’est sans compter sur Lagardère qui se fait passer pour un bossu afin d’approcher Gonzague pour finalement le tuer en combat singulier grâce à la fameuse botte de Nevers.
Le rat et la pizza
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 25 septembre 2015 10:26
- Écrit par Claude Séné

Le rêve de chacun est de se mettre à l’abri du besoin
même s’il doit pour cela aller chercher très loin.
Je m’en vais donc vous narrer par le menu
ce qu’il advint de la gent trotte-menu
qui cherchait subsistance dans le métropolitain
incarnant malgré elle le rêve américain.
Le rongeur, un rat, s’il faut l’appeler par son nom,
poussé par la faim, sortit en quête d’un quignon.
Sur son chemin, la chance ce jour-là
mit une énorme part de pizza.
Le rat, je devrais dire le raton,
guère plus épais qu’un avorton,
se mit en devoir de rapporter au nid familial
ce présent, ce cadeau royal.
Las ! l’animal eut beau tirer et pousser,
pousser et tirer, tirer et pousser,
lui faire dévaler
moult marches d’escalier,
il ne put ramener
ce cadeau empoisonné.
Moralité : mieux vaut se contenter des miettes du festin
que de vouloir l’entier gâteau à tout crin.