À la vôtre !
- Détails
- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le mercredi 31 décembre 2014 09:52
- Écrit par Claude Séné
Et encore une de passée. 2014 s’achève dans les frimas, alors qu’elle aura été une des années les plus chaudes que l’on ait connues depuis que les relevés de température existent. De quoi faire douter du réchauffement climatique quand on grelotte dès que l’on met le nez dehors. Un froid bien tangible pour les malheureux qui n’ont pas la chance de posséder un toit sur la tête.
C’est la tradition de ces fins d’années que de regarder dans le rétroviseur et d’essayer de résumer les évènements écoulés au moyen de rétrospectives, quand ce n’est pas de best of, de compilations ou de bêtisiers. Et le passé le plus récent, c’est cette initiative odieuse du maire d’Angoulême et ses bancs d’infamie. Les 6 morts dus à la vague de froid devraient l’empêcher de dormir du sommeil du juste, mais ce n’est pas certain. Chacun aura été frappé diversement par des faits plus ou moins spectaculaires. Pour ma part, je retiendrai par exemple que la France a obtenu deux prix Nobel, dont celui de littérature, ce qui n’est quand même pas si fréquent. Et en sport, il faut saluer la performance à la perche de Renaud Lavilenie qui a fait tomber le record mythique de Sergueï Bubka vieux de 21 ans.
Sur le plan international, il faut malheureusement déplorer le conflit larvé entre la Russie et l’Ukraine, sous couvert de séparatisme, une guerre qui s’ajoute à celles qui perdurent, au Moyen-Orient en particulier. Pour nous distraire et nous remonter le moral, nous avons suivi à la télévision les aventures de Rosetta et de son rejeton Philae qui a gambadé sur la comète Tchouri. Bien sûr, l’année 2014 aura connu son lot de catastrophes plus ou moins naturelles, et notamment la disparition de l’avion de la Malaysia Airlines, toujours inexpliquée à ce jour, mais qui pourrait cacher une méprise tout ce qu’il y a de plus humaine en relation avec la base américaine de Diego Garcia.
Quant aux personnalités décédées cette année, la liste en serait trop longue et forcément partielle, donc partiale. Je préfère me tourner vers l’avenir et vous dire « à l’année prochaine ! »