B… comme Barbare

Aucun d’entre vous n’a oublié l’annonce par vidéo de l’exécution des deux otages anglais et américain par décapitation par l’organisation l’État islamique ! Le sentiment d’horreur que ces actes ont provoqué a été ressenti par chacun, grand ou petit de ce monde, et leurs auteurs ont été qualifiés de barbares.

Je n’aurais pas la prétention de vous faire un cours d’histoire, mais il peut être intéressant de revenir sur le sens de ce mot.

Daech lave plus rouge

Depuis que de nouvelles exécutions d’otages se sont produites au Moyen-Orient, les autorités françaises ont décidé de ne plus appeler les coupables de ces forfaits « état islamique » comme ils se désignent eux-mêmes, au motif qu’elles ne le reconnaissent pas comme un état, avec toutes les prérogatives que cela suppose, et que le terme islamique serait de nature à jeter l’opprobre sur tous les musulmans. Fort bien

L’exorciste

Lorsque l’on joue au portrait chinois, la question : « et si c’était un film de cinéma, lequel serait-il ? » est souvent parmi les plus instructives. Concernant François Hollande, sans surprise, ses adversaires de l’opposition évoquaient avant sa conférence de presse le film Titanic, tandis que certains, plus indulgents, préféraient citer « Nous nous sommes tant aimés ».

Un gabarit exceptionnel

Des ministres de droite comme de gauche spécialistes de la boulette, on en a connu, et des sévères. On croyait même Roselyne Bachelot indépassable avec son lot de vaccins sur les bras, mais force est de constater que grâce à Emmanuel Macron, le nouveau ministre de l’Économie, on est en passe de toucher le fond. Ce n’est plus de la boulette, c’est un boulet à lui tout seul. Comment dire ? Ce n’est pas que les mots dépassent sa pensée, c’est plutôt comme s’ils avaient une vie indépendante.