Byzance

Je viens enfin de recevoir par courrier postal l’explication de mon opulence du mois d’octobre dernier.

En effet, j’étais très étonnée de terminer… de dépenser mon budget avec un solde créditeur de 2,23 € ! Je n’ai pas osé dépenser cet argent pensant qu’il s’agissait d’une erreur de la banque… mais l’explication était beaucoup plus simple même si elle était incroyable, ma retraite était augmentée de 2,23 €, mais l’administration n’avait pas eu le temps de m’en aviser si bien que j’en ai eu l’heureuse surprise un mois après et que je suis ravie de savoir qu’à partir de maintenant je vais pouvoir profiter de cette manne pour améliorer mon ordinaire.

Ruinés !

Par un de ces hasards dont l’actualité a le secret et dont j’aime à faire mes choux gras, nous avons appris cette semaine la ruine de deux personnalités que tout semble opposer. Le premier, c’est l’inénarrable Nanard, qui réclamait à la justice un milliard supplémentaire de préjudice dans l’affaire de la vente d’Adidas par le Crédit lyonnais et qui se retrouve au contraire condamné à rembourser les 400 millions perçus à tort en 2008 grâce à la bienveillance d’un tribunal arbitral et de la ministre de l’époque, aujourd’hui patronne du FMI.

Sainte-Catherine

Ayant moi-même été dépossédé du jour de mon anniversaire au profit de la journée internationale de la femme, je compatis de tout cœur avec toutes les Catherine dont le jour de la fête, le 25 novembre, est squatté par la journée contre les violences faites aux femmes. Si l’on veut être juste, il faut reconnaitre que cette journée est restée bien discrète, et n’a guère fait d’ombre aux fleuristes dont une partie du gagne-pain est constitué par les célébrations des saints et des saintes qui nous servent de patrons ou de patronnes.

Une amitié particulière

C’est celle qui lie Karim Benzema, au cœur de la tourmente dans l’affaire de chantage à la sex tape de Mathieu Valbuena, à Karim Zenati. Attention, il ne s’agit pas à ma connaissance d’une de ces amitiés qui servaient autrefois de périphrase pour ne pas nommer l’homosexualité. Ce ne serait pas une histoire de « tarlouze » selon le terme utilisé par le footballeur vedette au sujet de son coéquipier en équipe de France, selon lui un terme affectueux et générationnel n’incluant aucune connotation de comportement sexuel. Drôle de conception des relations entre collègues de travail, mais passons.