Catherine de Médicis

À partir de la Renaissance, les femmes ont dû lutter pour faire valoir leurs droits au pouvoir, frappées par la loi salique qui stipule qu’elles ne peuvent ni hériter ni rien transmettre à leur héritier. Catherine de Médicis, pourtant, a su marquer l’histoire, jusqu’à être considérée un temps comme la femme la plus puissante de France, voire d’Europe !

Née en 1519 à Florence, protégée par les papes Léon X et Clément VII, elle est élevée au Vatican, où elle reçoit une éducation raffinée. Elle représente un parti utile à François Ier qui la marie en 1533 au frère du dauphin, Henri, non destiné à régner.

Baroud d’honneur ?

La percée des troupes ukrainiennes dans la région frontalière de Koursk semble avoir pris de court le pouvoir russe, qui n’a rien vu venir, ou qui n’a pas pris au sérieux les renseignements qui auraient été adressés à l’état-major. Cette incursion dans le territoire de la Russie va bien au-delà des escarmouches permanentes sur le front de l’Est ukrainien, qui ont permis aux troupes russes de grignoter, village après village des fractions assez minimes, bien que réelles de l’Ukraine. Cette contre-offensive présente beaucoup d’avantages pour les Ukrainiens, même si elle ne peut évidemment pas inverser le cours de la guerre voulue par Vladimir Poutine.

La roche Tarpéienne

Il n’y a pas si longtemps, les commentateurs de la vie politique américaine considéraient que le match pour la présidence des États-Unis était pratiquement plié. Donald Trump marchait littéralement sur l’eau après avoir échappé miraculeusement à un attentat. Il était bien aidé en cela par la baisse de régime de son adversaire, le président sortant Joe Biden, qui donnait une image désastreuse de ses capacités physiques et intellectuelles. Donald Trump surfait sur une vague apparemment irrésistible, ne se privant pas d’insister sur l’âge de son concurrent, qui ne lui rendait pourtant que 4 ans, et c’est lui qui se retrouve désormais sur la défensive, depuis que Kamala Harris a remplacé Joe Biden pour l’élection du 5 novembre prochain.

Le revers de la médaille

C’est une gymnaste franco-algérienne qui a décroché la médaille d’or dans l’épreuve de barres asymétriques à l’âge de 17 ans seulement, faisant preuve d’une maturité et d’une qualité technique impressionnantes. Cette médaille a été acquise pour le compte de l’Algérie, mais on apprend que l’athlète en question, Kaylia Nemour, née en France de père algérien et de mère française, a toujours vécu en Indre-et-Loire, qu’elle faisait partie du club d’Avoine-Beaumont dont sa mère est la présidente, et qu’elle aurait dû concourir pour la France sans un imbroglio et un conflit stupide avec la fédération française de gymnastique qui l’a amenée à se rattacher à la fédération sportive de l’Algérie, dont elle possède évidemment la nationalité, à égalité avec la nationalité française.