Régularisation

Le sujet n’est pas nouveau. Chacun sait que de nombreux sans-papiers travaillent plus ou moins régulièrement et font tourner des pans entiers de l’économie en France. Ils ont longtemps été cantonnés à des tâches subalternes, dont les Français ne voulaient pas, parce qu’elles étaient mal payées, ou mal considérées. Ce n’est plus forcément le cas aujourd’hui. Le métier d’éboueur par exemple, hormis ses difficultés spécifiques, ses contraintes et la fatigue qui en résulte, est devenu attractif sur le plan de la rémunération. Cependant, on retrouve des travailleurs en situation irrégulière dans certains métiers dits « en tension » notamment dans la restauration ou le bâtiment.

À vos calculettes !

Connaissez-vous la shinkflation ? Il y a seulement une semaine, j’aurais parié que non, mais le sujet est monté en puissance récemment, et a commencé à se répandre, grâce notamment à une campagne marketing d’une enseigne, bien placée pour dénoncer une pratique qu’elle a utilisée elle-même sans remords ni état d’âme. De quoi s’agit-il ? D’une augmentation de prix déguisée, passant par la diminution de la quantité de produit, pour un prix identique, voire plus important. Je vous ai déjà raconté ici même l’évolution du carambar de mon enfance, dont la taille fondait jusqu’à l’apparition du « maxi » carambar, plus gros, mais plus cher !.

Notre ami le roi

Lorsque Gilles Perrault publie en 1990 le récit biographique sur le roi du Maroc, intitulé « notre ami le roi », il s’agit de Hassan II, le père de l’actuel monarque du royaume chérifien, Mohammed VI. Il y décrivait la face cachée du régime marocain. Ce livre allait faire l’effet d’un Tsunami politico-diplomatique, ou encore selon une terminologie glaçante après-coup, celui d’un tremblement de terre. Aujourd’hui, le Maroc essaie de panser ses plaies et de faire face à la catastrophe pour l’humanité qui s’est produite. L’attitude du souverain marocain, si elle n’est pas critiquée ouvertement, pose cependant beaucoup de questions.

Les meilleures choses ont une fin…

Je veux parler de cette parenthèse estivale qui nous a fait visiter des sites exceptionnels, mais pas des merveilles du monde, puisque si huit d’entre elles ont été retenues, il en reste un grand nombre qui mériteraient d’être dans le classement. Le classement que j’ai retenu était dû à une organisation privée, souvent il recoupait le classement du patrimoine mondial de l’UNESCO le seul qui soit officiel !