Z’avez pas vu Sarko ?

Je le cherche partout. Où est donc passé Sarko ? Si Nino Ferrer a probablement retrouvé Mirza au paradis des chiens, la disparition médiatique de Nicolas Sarkozy commence à m’inquiéter. C’est quand même lui qui a été le principal pourvoyeur de cette chronique depuis près de 10 ans. Même quand il est parti, il était toujours là. Mais depuis les fêtes, rien, nada, peau de balle, silence radio ou presque. Les dernières nouvelles du président de l’UMP remontent à ses vœux diffusés sur sa page Facebook, des vœux enregistrés suffisamment vagues pour ne pas être datés avec précision.

Annus horribilis

Vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenus. Je vous l’avais bien dit que nous allions en bouffer, du Hollande, matin, midi et soir, à tous les repas. Et lundi matin, c’était au petit déjeuner, puisque le président normal s’était invité à la matinale de France inter pour un café croissant de deux heures. Deux, c’est beaucoup, ce n’est pas de trop, aurait dit Boby Lapointe, mais il faut ce qu’il faut.

Rétropédalage

À l’origine, un simple fait divers. Le maire divers droite de Champlan, une commune de l’Essonne, qui refuse l’inhumation d’un bébé rom décédé à 2 mois et demi de la mort subite du nourrisson, en arguant du fait que par manque de place, il réserve la priorité aux familles qui paient des impôts locaux sur la commune. Et puis la machine médiatique s’emballe, à juste raison pour une fois. Les prises de position se multiplient. Le maire UMP de Wissous, une commune voisine, accepte de fournir la sépulture sans que rien l’y oblige.

Souvenirs et traditions (encore)

 

Au risque d’être rétrograde ou passéiste, je ne peux m’empêcher de me remémorer les 1er janvier de mon enfance.

 

D’abord, il y avait la tradition d’offrir des étrennes aux enfants, une pièce, un billet, des chocolats et dans les années les plus riches un vêtement ! Autrement dit le 1er janvier avec ses surprises, avait autant d’importance que Noël.