Obliger sans contraindre

C’est un peu comme faire rentrer un carré dans un cercle, ou l’inverse. Un problème mathématique connu sous le nom de quadrature du cercle consiste à tracer un carré dont la surface serait égale à celle d’un cercle donné, en se servant uniquement de la règle et du compas, ce qui est en réalité impossible. Le président Macron est parti d’une situation donnée : l’essoufflement de la vaccination alors que le virus est reparti à la hausse, avec une contrainte, forcer les Français à se faire vacciner « de leur plein gré » sans rendre la vaccination obligatoire.

Marie Fortunée Capelle Lafarge

Plus communément appelée Marie Lafarge du nom de son mari.

Née en 1816, élevée au château familial de Villers-Hélon dans l’Aisne, son père meurt quand elle a 12 ans, sa mère se remarie avec le baron de Coëhorn et elle est habituée à côtoyer la noblesse alsacienne. À 18 ans, elle est adoptée par sa tante Louise Collard, épouse du baron Garat, fréquente une école réservée à la haute société, et rêve d’un amour romantique refusant plusieurs fiancés. À 23 ans, on lui fait rencontrer Charles Lafarge, Maître de forges au Glandier dans la Corrèze. Il se prétend fortuné, Marie tombe amoureuse et sous la pression familiale accepte le mariage.

Que d'eau !

La célèbre formule du maréchal Mac-Mahon prononcée en 1875 au moment des crues catastrophiques de la Garonne, est là pour nous rappeler que les catastrophes naturelles sont intemporelles et que l'on n'est jamais à l'abri de leur survenue. Aussi pourrait-on être tenté d'accuser le hasard et la fatalité devant les inondations spectaculaires et surtout très meurtrières qui ont touché ces jours derniers l'Allemagne et la Belgique dans des proportions jamais vues jusqu'ici. Ces débordements ont été causés à l'origine par des pluies intensives tombant sur des terrains déjà gorgés d'eau.

Au royaume du quidam

France Trois a consacré dernièrement une mini série de reportages sur les algues, notamment en Bretagne, et en soulignait l'intérêt, et également la fragilité. Un défenseur de l'environnement attirait notamment notre attention sur les dommages causés par les ancres des bateaux restant au mouillage sur des zones sensibles, un phénomène observé également et bien connu en Méditerranée, avec de gros dégâts sur les champs de posidonie. Dans la foulée, on interrogeait un simple quidam, un pêcheur à la ligne, je suppose, qui répondait sobrement : « je n'y crois pas ». Une affirmation qui m'a médusé, bien que, dans le fond, ce ne soit pas si surprenant que cela.