L’album de la comtesse
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 4 mai 2020 10:55
- Écrit par Claude Séné

Rassurez-vous, je ne vais pas vous soumettre à l’exercice parfois redoutable que propose le Canard enchaîné pour distraire son lectorat et qui consiste à décrypter des contrepèteries et à en débusquer le sens caché, généralement grivois. Cette comtesse-là, c’est celle de Ségur, née Rostopchine, qui a égayé mon enfance et peut-être la vôtre, à laquelle j’ai été irrésistiblement renvoyé par Olivier Véran quand il a évoqué la création de « brigades d’anges gardiens » pour veiller sur la santé de nos concitoyens.
Petit dictionnaire du confiné 5
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 3 mai 2020 10:21
- Écrit par L'invitée du dimanche

O
Obligation : engagement qu’impose la loi, la religion, la morale. Après le respect des gestes barrière, à partir du 11 mai prochain, il faudra souscrire à celle du port de masques dans les moyens de transport, et dans les locaux scolaires ouverts.
P
Pandémie : extension d’une maladie contagieuse sur une zone géographique très étendue. Celle du covid 19 n’est plus à démontrer.
Occupez-vous de vos affaires !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 2 mai 2020 10:14
- Écrit par Claude Séné

Contrairement à leur réputation d’indiscipline, partagée avec la plupart des Européens « du sud », les Français ont remarquablement observé les règles de confinement pourtant drastique qui leur ont été imposées. Finalement, les pays « nordiques », ou anglo-saxons, dont on vante souvent la rigueur, opposée à l’esprit de fronde des irréductibles Gaulois, ne se sont pas montrés plus raisonnables que nous. Pire encore, c’est aux États-Unis qu’avec la bénédiction de leur président irresponsable, des militants endoctrinés ont réclamé, les armes à la main, le droit de s’exposer à la maladie.
Un premier mai pas comme les autres
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 1 mai 2020 10:38
- Écrit par Claude Séné

Ce slogan a été le fil conducteur du discours d’Emmanuel Macron diffusé sur Twitter. C’est une évidence, et « en même temps », comme il aurait pu le dire lui-même, ce qui aurait été vraiment différent, c’est qu’il s’abstienne pour une fois de bonnes paroles, pour laisser place à une ligne politique claire en faveur des gens qui souffrent le plus de la situation actuelle. Contrairement à la chanson de Sylvie Vartan avec Carlos, les deux minutes trente-quatre de son allocution n’ont pas apporté « que du bonheur ».