Un prof devant chaque classe

Telle était la promesse de la rentrée 2023, non tenue bien entendu, et qui sera renouvelée pour la future rentrée avec aussi peu de chances d’y parvenir, puisque l’on sait d’ores et déjà que le nombre de candidats aux concours de recrutement pour le premier comme le second degré sera nettement insuffisant au moins dans certaines académies pour permettre de pourvoir tous les postes nécessaires. Au point que le ministère de l’Éducation commence déjà à mettre en place le recrutement de professeurs contractuels qui seront lâchés dans la nature avec peu ou pas de formation professionnelle. Un recul d’une bonne soixantaine d’années, au temps des « titulaires-remplaçants » ou des « suppléants éventuels ».

La flemme olympique

Il reste encore plus de deux mois avant le début de l’évènement proprement dit, et j’ai l’impression que je sature déjà. Dans une première phase, on a beaucoup glosé sur les risques de toutes sortes, à commencer par le plus évident, le défi d’assurer la sécurité des spectateurs désireux d’assister aux épreuves olympiques en dépit des menaces inévitables de profiter de l’énorme caisse de résonance des Jeux de la part d’organisations ou d’individus en mal de notoriété. Faute d’évènements vraiment intéressants, les médias montaient en épingle le moindre incident qui pouvait conduire à un retard catastrophique du point de vue de l’image touristique de notre pays.

« Grosse » fatigue

Personne n’y échappe ! La fatigue, c’est un état de difficulté à effectuer des efforts physiques, à maintenir une activité intellectuelle, c’est le signe d’un mode de vie perturbé.

Elle peut être passagère, ou réactionnelle à la suite d’un surmenage ou d’une infection, elle peut être durable si elle est en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique. Quand elle est anormale, on la qualifie d’asthénie.

Elle subsiste alors après le repos et donne la sensation désagréable et pénible de mener à bien les activités quotidiennes.

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C’est donc le grand soir, que certains attendent depuis l’an dernier, avec la finale du concours dit de l’Eurovision, bien qu’il ne reflète pas exactement l’Europe géographique et historique ni l’Europe économique ou politique, puisque l’Australie est la nation la plus exotique et lointaine à participer. Cet éclectisme explique sans doute l’attractivité du concours auprès des nombreux pays participants, au point qu’il faut désormais organiser des demi-finales pour départager les candidats et éviter que la finale, déjà très longue, ne devienne carrément interminable. La France est dispensée de demi-finale, non pas pour une qualité exemplaire de ses prestations, qui ont parfois tourné au désastre, mais grâce à une contribution financière plus élevée.