Un neurone pour deux

Ce n’est pas beaucoup, mais c’est mieux que rien. Je vous emmène aujourd’hui dans les coulisses de l’interview-choc de dimanche dernier, entre un ex-président et un présentateur vedette. Oui, parce que, à un moment, avec ces deux-là, on ne sait plus qui interroge l’autre.

Même pas peur !

« La France n’a pas peur ». C’est ce qu’a déclaré Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, en réponse aux menaces des djihadistes du soi-disant état islamique. La France, peut-être, mais les Français, c’est déjà moins sûr.

Attention à la marche !

Non, je ne vous parlerai pas de Sarkozy. Il n’y a rien à dire. Son retour médiatique est un non-évènement. Même les journaux spécialisés se sont contentés pour la plupart de reprendre la dépêche AFP pour rendre compte de son interview sur France 2. Comment ? Vous insistez ? Bon ! D’accord, mais c’est bien pour vous faire plaisir.

B… comme Barbare

Aucun d’entre vous n’a oublié l’annonce par vidéo de l’exécution des deux otages anglais et américain par décapitation par l’organisation l’État islamique ! Le sentiment d’horreur que ces actes ont provoqué a été ressenti par chacun, grand ou petit de ce monde, et leurs auteurs ont été qualifiés de barbares.

Je n’aurais pas la prétention de vous faire un cours d’histoire, mais il peut être intéressant de revenir sur le sens de ce mot.