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Élucubrations

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Catégorie : Diabloguiste

Publié le dimanche 28 septembre 2014 09:52

Écrit par L'invitée du dimanche

J’ai toujours été interpellée par le phénomène des rêves. Je suis coutumière de la recherche de leur signification, j’ennuie souvent mon psy de service en demandant éclairage ou confirmations du sens que l’on peut trouver à mes divagations oniriques. Bien sûr, M. Freud m’a beaucoup intéressée, j’ai étudié d’assez près ses théories explorant l’inconscient, mais une fois comprises les règles les plus simplistes de l’activité du rêve telles que les phénomènes de condensation, de déplacement… je n’ai jamais été assurée d’en avoir trouvé la clef !

Je continue quand même à décoder, souvent avec fantaisie, mes balades nocturnes. Je vous livre la dernière en date avec son décryptage.

Décor : ce qui pourrait ressembler à un vide-grenier, ou un dépôt d’objets disparates.

Personnages : moi-même, une de mes sœurs jumelles et une petite fille, et plus tard une de mes grandes amies Annie, disparue encore jeune il y a plus de 20 ans.

Alors que je suis en train de chiner quelque trésor dans ce dépôt, je découvre un appareil en cuivre rouge comprenant un réservoir sphérique, des robinets et son support de fixation. Je reconnais tout de suite un objet que j’avais offert à mon amie Annie. J’avais regretté d’avoir fait ce cadeau, car il me venait de ma famille. Alors que je décidais de l’acheter, celle qui l’avait abandonné surgit comme une furie dans le magasin, refusant que je m’en empare. Après une légère dispute où mon bon droit fut reconnu, avec l’aide de ma sœur nous avons chargé le support, mais impossible de loger la sphère, il faudrait faire un deuxième voyage… Arrivée chez moi, angoisse, j’avais oublié de préciser que je reviendrais prendre en charge la deuxième partie de l’appareil, et j’avais peur que quelqu’un d’autre l’achète… Et je me suis réveillée sur cette inquiétude !

Analyse :

Nul doute pour moi que ce réservoir en cuivre évoque mon père à travers le petit pot de colle sphérique qu’il utilisait dans son atelier et que j’ai toujours gardé, et me renvoie par condensation à un autre objet, une jolie bassinoire ancienne en cuivre, donnée par ma mère et que j’avais offerte à une amie en cadeau de mariage. J’avais regretté ce geste, me sentant très coupable d’avoir trahi l’affection de ma mère, et dilapidé un souvenir familial. (Cet objet est revenu dans l’héritage familial, mon amie me l’ayant rendu récemment…)

L’apparition de cette image dans le rêve a peut-être été provoquée par l’occupation la veille de prendre en compte le filtre de ma piscine ayant la même forme que l’objet convoité, pour l’entourer de moquette. Quant à la présence de ma sœur jumelle, dans le réel, je n’avais pu la veille la joindre au téléphone et j’en étais déçue, la petite fille qui l’accompagnait avait le visage de la mienne, qui n’a pas donné de nouvelles depuis quelque temps, et pour la résurgence d’Annie à laquelle je n’ai pas pensé depuis très longtemps, elle trouve son origine dans l’annonce du décès d’une autre de mes amies, du même cancer !

Alors, divagations de mon imagination, ou manifestations troublantes de l’inconscient ? À vous de choisir, et faites de beaux rêves.

L’invitée du dimanche

Passées les bornes…

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Catégorie : Diabloguiste

Publié le samedi 27 septembre 2014 11:00

Écrit par Claude Séné

Il n’y a plus de limites. Vous connaissez la blague de ces deux nouveaux Russes qui discutent de leur toute nouvelle Rolex. L’un dit : « cette montre m’a coûté 50 000 euros ! » et l’autre réplique : « tu t’es fait avoir, moi, je l’ai payée 100 000 euros ». Le tout nouveau téléphone de la marque à la pomme, dans sa version la plus luxueuse, a dépassé la barre symbolique des 1000 euros, ce qui n’a pas empêché les idolâtres de ce symbole du snobisme ultime de faire la queue pendant des heures pour être les premiers à acquérir ce prétendu bijou de technologie.

L’horreur et la terreur

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Catégorie : Diabloguiste

Publié le vendredi 26 septembre 2014 10:22

Écrit par Claude Séné

Comme on pouvait malheureusement s’y attendre, l’otage français enlevé en Kabylie a été exécuté par ses ravisseurs au terme d’un ultimatum dont la brièveté faisait pressentir le pire. Nul doute que le groupe se réclamant de l’état islamique ne se faisait aucune illusion sur ses chances d’infléchir la politique de la France à l’égard des djihadistes qui sévissent en Syrie et en Irak.